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Source : CNIL

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26 Mar 2018 17:39 #1821

FARGET

Portrait de

Bonsoir,
Je viens de lire votre article et je l'ai trouvé très intéressant, il pose à la fois une vérité : le combat de LPL et une question, sa continuité !
En 2018, en France, il devient necessaire de
de faire un état des lieux sur la pédophilie tant dans les familles
(lieu malheureusement privilégié) que dans les institutions, sans oublier au passage le milieu sportif qui n'est pas
épargné, d'autres l'ont fait avant nous : les Suisses, les Belges, les Allemands, j'en passe et des plus lointains.
Certains avec l'accord des évêques pour la partie catholique, d'autres en les bousculant.
Ce n'est pas important, c'est vital, c'est exactement comme si on ne pouvait plus respirer, parce que in finé qu'y a t'il
de pire dans la vie d'en enfant et plus tard d'une femme ou d'un homme que d'être victime d'un crime pédophile ?
Pour nos enfants, pour leur vie, il faut deux aspects majeurs : la culture qui ouvre aux autres et la sécurité quotidienne.
Deux points frontaux d'une future vie épanouie. La connaissance et la sécurité.
Aujourd'hui encore, une fille sur 8 et un garçon sur 10 sera victime d'une agression avant ses 15 ans. 22% des agressions se font avant l'age de 6 ans !!!!

Lecteurs et membres d'Alternatives Démocratiques je ne peux que vous inviter à nourrir votre réflexion en allant sur le site de la parole libérée www.laparoleliberee.fr afin de faire votre ce combat qui devrait être celui de tous.
Bien cordialement. Fabrice Farget - webmaster LPL
26 Mar 2018 17:07 #1820

Daniel Méjean

Portrait de Daniel Méjean

Le long documentaire « Pédophilie : un silence de cathédrale » diffusé le 22 mars 2018 sur France 3 me semble une étape capitale sur le long et tortueux chemin entrepris par les victimes de prédateurs sexuels, afin de les dénoncer et de les livrer à la justice. Ce combat rejoint celui qui secoue déjà la planète entière depuis plusieurs mois, dans d’autres milieux, entre les femmes et les hommes.
Car il faut que justice soit faite pour apaiser les victimes et ne serait-ce que rendre confiance dans notre société qui garantit l’égalité de traitement de tous devant la loi.
L’Eglise Catholique est sur la sellette, accusée par ses victimes à visage découverts, d’avoir tout fait pour étouffer ces scandales à répétition en usant de méthodes, omerta et intimidation, cela a été dit, clairement maffieuses.
J’espère que ce grand coup de pied salutaire dans la fourmilière élargira le champ d’actions à d’autres exactions du même type qui ne pourront plus profiter de ce ciblage particulier pour continuer à sévir dans l’ombre, la charge étant cette fois enfin d’une puissance exceptionnelle.
J’espère que toutes les victimes de ce genre d’abus, d’où qu’ils viennent et où puissent-ils se passer, feront le pas si difficile de sortir de l’ombre pour les dénoncer.
Le procès qui s’annonce ne doit pas se limiter à l’Eglise mais s’élargir à toutes les institutions qui, par leur structuration, permettent aux dominants d’exercer abus de pouvoirs, abus d’autorité, abus de position dominante vis-à-vis des plus faibles, le tout conduisant aux pires turpitudes et infamies.
Ce qui est très courageusement dénoncé aujourd’hui à l’encontre d’une Eglise qui ne pourra plus se défausser, est comme un dessillement, une prise de conscience élargie des horreurs prospérant sous couvert d’institutions au-dessus de tous soupçons à tel point qu’elles ne supportent même pas l’idée d’être mises en cause et s’enferrent dans des comportements d’autoprotection les menant tout droit à une forme maffieuse d’omerta.
L’association « La parole libérée » en pointe dans cette dénonciation du silence de l’Eglise me semble avoir pris conscience que son combat est en train d’échapper à ses limites initiales et de toucher d’autres institutions, de prendre une dimension quasi universelle, ce qui pose le problème des moyens de la continuité de son action ainsi élargie.
Il est donc grand temps de se demander pourquoi, dans notre société si sophistiquée et organisée, a-t-il fallut que ce soit une association qui s’empare en désespoir de cause de ce problème majeur.
On touche ici du doigt la quasi impossibilité des grandes institutions (l’Eglise, bien sûr, mais aussi l’Armée, l’Education Nationale, la Justice elle-même, etc.) figées dans leurs certitudes à se remettre en question au prix des pires dénis de justice. L’autoprotection fait loi, leurs prolongements les unes dans les autres formant un réseau occulte impénétrable aux victimes isolées et impuissantes, leurs organisations de justice interne poussant à ne pas recourir au droit commun.
Ce sont les forces de police et la Justice qui devraient s’imposer dans ces dossiers. Les citoyens de ce pays n’en demandent pas moins. Pour ce faire, afin de surmonter tout manque de transparence, le recours à un jury populaire assurant un contrôle démocratique du déroulement des procédures, pourrait rétablir la confiance et mettre fin à ces comportements d’état dans l’état.
Et si cela ne suffit pas, je pense que toute exaction couverte par une grande institution relève du crime contre la société et doit être sanctionnée à ce titre en poursuivant ses dirigeants.
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