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Source : CNIL
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A force d’être confronté à des articles, documentaires, pamphlets, etc. dénonçant tout ce qui va mal dans notre monde, on pourrait être tenté de partir se réfugier dans le maquis et d’y attendre le plus sereinement possible la fin du monde annoncée, non sans se demander à quel aiguillage notre espèce a complétement… déraillé. Vaste sujet.
Cependant, avec un peu de recul, l’absorption de ce tombereau de nouvelles cataclysmiques, mène petit à petit au constat complètement limpide que nous sommes devenus une bande d’ânes menés par le bout du nez et tenu à merci d’une caste dirigeante aux desseins contraires aux nôtres dont l’incapacité de se remettre en question n’est pas la moindre des qualités. Une fois la serrure bien identifiée, il n’est pas trop difficile d’en imaginer la clé. A partir de là, ça devient excessivement compliqué, la résistance du système à toute forme d’évolution dépasse largement les capacités des simples clampins que nous sommes ! Le but à atteindre est l’humanisation de notre société et la réappropriation de notre destin pour créer le monde que nous désirons. Soyons méthodiques et commençons par le commencement. Par le point de blocage : en premier lieu, le club select (je n’ose pas dire « mafia » !) de ceux qui nous gouvernent sans tenir compte de nos intérêts pas plus que de nos aspirations, en dépit de ce qu’ils ont promis pour être élus. En second lieu, la caste des serviteurs de l’État, formés dans de grandes écoles comme élites de la Nation et qui a développé petit à petit un tropisme très ancien régime, sa reproduction relevant plus du principe dynastique que de l’ascenseur social. Je ne pointe bien sûr pas du doigt ceux de ces élus et des élites, nombreux, qui sont animés du désir d’œuvrer à l’intérêt général, je reste cependant sans illusions sur les plus ambitieux qui, approchant du Soleil, adoptent sans s’en rendre compte son mépris pour ceux qu’il éclaire. Et qui, comme tous les drogués au pouvoir, en demandent toujours plus comme pour satisfaire une addiction incontrôlable. L’ennemi numéro un des gouvernants est le pouvoir, qui grise puis corrompt, qui s’empare des âmes à l’usure, malgré toutes les résistances et auquel nul ne résiste bien longtemps. C’est pourquoi de mon point de vue, il est impératif de réduire drastiquement le nombre de mandats des élus qui ne doivent en aucun cas faire carrière et devenir des professionnels de l’exercice du pouvoir ! Un mandat puis ils retournent à leurs moutons. J’entends parfaitement les reproches qui peuvent être fait à ce système qui empêche toute création d’expérience. Une expérience tendant avec le temps, à la corruption…. Alors, à tout prendre ? Les élites de la fonction publique, au contact des élus et chargées de les aider à traduire leurs directives en langage administratif, devront elles aussi évoluer d’un poste à l’autre, entre public et privé tout en veillant aux conflits d’intérêts. Un effort particulier devra être fait pour unifier les droits publics et privés ainsi que les statuts des salariés, le distinguo actuel étant source de diverses turpitudes menaçant la cohésion sociale en complexifiant inutilement la gouvernance. Ce n’est pas la première fois que je tiens de tels propos et ce que j’observe avec le temps ne peut que me conforter dans la détestation de c système du type « deux poids, deux mesures ». Une fois ce point de blocage levé, il sera grand temps d’attaquer le vif du sujet, touchant l’ensemble de la société : le couple infernal éducation/instruction. Après des décennies d’errements, tout reste à faire, le but étant la mise à disposition dans les esprits de nos enfants, d’une caisse à outil d’humain comportant tous les outils nécessaires à la vie en société et à la compréhension du monde. C’est un vaste sujet devant occuper les nombreuses années de formation initiales. Pour faciliter leur choix et leur acquisition, la maitrise de cette caisse à outils doit être préalable aux spécialisations, nombreuses et évolutives Son contenu devra être validé par une vaste consultation populaire, l’ambition devant ici se limiter à l’apprentissage de l’usage de ces outils de manière quasi réflexe. A partir de là, faisons confiance aux enfants pour s’emparer en pleine possession de leurs moyens et en toute connaissance de cause, du monde réel et à le libérer de tout ce qui le rend incompréhensible ou inintelligible. Je délire ? Non, c’est en transformant ses rêves en buts à atteindre que l’humanité a toujours connu ses plus grandes avancées, en regardant l’horizon plutôt que ses pieds… |
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Quelques observations suite à ton "édito".
D'abord, quelques énarques "politiques" ne font pas la "caste des serviteurs de l'état". La fonction publique intègre des millions de nos concitoyens qui, pour l'immense majorité, ont le sens du service public et sont désintéressés (cf leur salaire de misère). Ensuite, le privé qui semble recueillir tous tes suffrages, ne me semble pas répondre au critère d'un bon service public : cf les scandales récents concernant la gestion de certains EHPAD ou certaines crèches privées. On le sait maintenant, le privé n'a qu'un objectif : faire le maximum de profits, le service du public n'étant qu'un prétexte. Dernier point : la réduction du nombre de mandats. A son arrivée au pouvoir en 2017, M. Macron a pris soin de balayer les "vieux" politiques pour les remplacer par des jeunes pleins d'allant mais dépourvus d'expérience. Résultat : une gestion des crises (gilets jaunes, COVID...) erratiques. Rien ne remplace l'expérience en cas de crise. L'avoir ignoré nous a conduit à la situation où nous sommes aujourd'hui. |
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AlternativeS DémocratiqueS 2011-2025