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Source : CNIL
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La guerre en Ukraine et ses conséquences sur les approvisionnements en matières premières n’auront pas encore suffi pour nous convaincre d’en venir enfin aux bonnes questions (cf. » Maudite liste « du 8 novembre 2021).
Le principal des efforts consentis par les dirigeants des pays déstabilisés par la diminution ou la disparition de leurs sources habituelles, consiste à chercher d’autres fournisseurs. Et, trois fois hélas, pas à promouvoir enfin les mesures de diminution des consommations énergétiques et matérielles dans des proportions telles qu’une économie circulaires générale pourrait être possible. Cette guerre à nos portes ne nous semble donc pas si menaçante que ça, pas plus que la pandémie dont nous ne parvenons pas à sortir. Alors quoi ? Qu’est-ce qui pourra bien initier le mouvement vital pour notre avenir, le réveil de consciences à minima endormies ? On entend de ci de là des déclarations ronflantes aux destins de soufflés ou de montgolfières refroidies, qui retombent aussitôt confrontées aux réalités idéologiques qui nous mènent à la catastrophe par le bout du nez. Notre nouveau (au sens de réélu) président nous fait aussi le coup, parlant d’un Premier Ministre extraordinairement écologiste : on va voir ce qu’on va voir ! Et ça tombe bien, je demande à voir ! N’ayant pas réussi en cinq ans à se dépêtrer de ses exigeants sponsors, aussi collants qu’une armée d’huissiers aiguillonnés par des créanciers sans états d’âme, je ne vois pas encore bien comment il va tenir cette promesse ressemblant à un virage à 180° ! Certainement pas en s’appuyant sur sa véritable famille politique, celle du fric, qui va freiner des quatre fers, pas plus qu’apparemment sur l’autre côté du spectre où le grand bal des ambitions personnelles et des sectarismes de chapelles a repris de plus belle ! Avant de mater le capitalisme sauvage, commençons par mater la crétinerie congénitale de politiciens ne roulant que pour eux, revenant sans cesse à la lumière quitte à vendre des idées inverses à celles qui leur ont valu un séjour à l’ombre, dans une sorte d’éternel retour en boucles impénétrables excluant tout porteur d’idées neuves et toute remise en question de convictions rancies avec le temps. Tant qu’une telle clique aura la main sur nos destins, rien ne bougera. Je sais que certains d’entre eux sont pleins de bonne volonté. Ils sont hélas rares et la bonne volonté n’est pas une conception du monde. Juste un moyen de faire au mieux, encore faut-il définir quoi. Quoi ? Dans mon coin, je m’efforce depuis un bon moment dans ce sens. Je ne suis pas le seul, loin de là, d’autres de plus grand talent s’échinent aussi à secouer un système lourd comme un cheval mort, en vain jusqu’à présent. De toute cette agitation émergent quantité de propositions cohérentes car réaliste : partant d’un même constat des conditions initiales et de celui des mécanismes animant le monde moderne, arriver aux mêmes conclusions est rien moins que stupéfiant ! Alors, comment se fait-il que ceux que nous élisons pour améliorer de notre part le monde, agissent-ils tout autrement une fois au pouvoir ? Comment se fait-il que l’issue d’un processus rationnel de réflexions sur l’avenir du monde, se termine-t-il dans l’irrationalité la plus totale ? Parce que nous sommes des hommes. Et que combattre notre côté fantasque ne peut pas être le fait d’ambitieux pollués par leurs égos. La réforme première à mes yeux, quitte à me répéter, est celle du système électoral, qui instituerait des mandats uniques et des organes de contrôle démocratique. A ce prix reviendrait l’intérêt pour la chose publique, qui déclencherait l’émergence de nouvelles personnes dispensées de toute préoccupation de maintien au pouvoir et donc dotées du courage politique indispensable dans une période aussi fertile en choix vitaux pour la nation. |
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Bonjour Daniel
La planète et son avenir ne pèsent pas lourds face aux financiers qui gouvernent le monde et savent se rappeler au bon souvenir de nos dirigeants qui l'auraient oublié. Il est donc probable que rien ne change. A moins que les financiers trouvent enfin un intérêt au changement ! Gardons espoir cependant... |
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