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Source : CNIL

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SUJET : Santé et pétitions

Santé et pétitions 18 Fév 2019 21:02 #1905

Sur sollicitation d’amis et de proches, je viens de signer une pétition en ligne pour le maintien d’un service apte aux greffes de foie de l’enfant à l’hôpital de la Timone à Marseille.
J’avais connaissance des graves affections pouvant toucher de très jeunes enfants et dont la seule issue est une greffe du foie, avec de bonnes chances de succès.
Parmi les multiples pétitions tous azimuts qui circulent sur le net et les boites mails, je n’ai pas choisi celle-ci par hasard mais parce qu’elle est emblématique des conséquences d’une politique généralisée à tous les secteurs du service public.
Une politique uniquement comptable ignorante de tout ce qui constitue la notion de service public.
Pour cette pétition en particulier, les circonstances de sa mise en place découlent d’un constat horrifié : le remplacement d’une chirurgienne partante, seule à pratiquer ce genre d’opération, par une autre personne de même compétence a été empêché pour des raisons administratives !
Les raisons administratives priment donc sur le souci de la vie d’autrui. Ou je n’ai pas bien compris ?
Comment un grand hôpital comme celui de la Timone peut-il tourner le dos à sa mission majeure : soigner et sauver les gens malades ?
Quel pourcentage des fonds octroyés à la santé sont-ils détournés vers son administration ?
La réussite de toute entreprise humaine est conditionnée par une logistique appropriée, on le sait depuis longtemps, qui veut la fin, veut les moyens !
Bien sûr, l’administration a bien besoin d’une simplification rationnelle de ses organigrammes devenus buissonnants avec le temps, de ses hiérarchies vertigineuses où se perd le pouvoir d’agir, de ses redondances absurdes propices à la construction de baronnies incontrôlables, etc.
Mais aujourd’hui, une part de plus en plus importante des moyens est uniquement consacrée au contrôle des flux financiers, à leur resserrement jusqu’à l’étranglement, avec tout ce que cela comporte de coupes budgétaires dans les frais de personnels et les achats de matériels, dans le but de faire plus avec moins en tirant sur la corde jusqu’au point de rupture.
Ce constat souvent mis en avant par les défenseurs du service public occulte hélas celui de ses censeurs pour qui ces activités qui ne rapportent rien sont toujours trop couteuses, détournant ainsi l’attention de la recherche des causes de cette dérive : l’immersion de plus en plus prégnante de toute l’organisation de notre société dans les principes du libéralisme économique allergique à toute notion de service public, ne rêvant que d’une privatisation générale soi-disant seule garante d’un bon fonctionnement des services sous la contrainte du marché souverain.
Énorme foutaise, imposture suprême enfoncée dans les esprits au marteau-pilon depuis des années, misérable faux-nez d’une escroquerie mondialisée plumant les plus faibles au profit des plus forts.
Qui aura le courage politique de s’opposer à ce détournement de richesse en accélération permanente suivant le principe de Bernoulli (les équations qui décrivent le fonctionnement de la chasse d’eau !) en interdisant toute privatisation de ce qui relève de la vie quotidienne : santé, transports, énergie, éducation, au-delà des secteurs régaliens.
C’est seulement à ce prix que la confiance dans nos institutions et leurs représentants reviendra.
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