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Source : CNIL
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Un petit tour des législations anti-corruption de divers pays européens, nos voisins, pourrait aider certains d’entre nous à ôter les peaux de saucissons qu’ils ont devant les yeux !
Le constat est édifiant et va souvent contre les idées reçues. L’exemple de la Roumanie est emblématique : ce pays, encore considéré chez nous comme une maison mère de la corruption est en fait doté d’un organe de contrôle appuyé sur une législation exemplaire mise en place sous peine de non adhésion à l’Europe en 2004. Cette institution a littéralement nettoyé une classe politique aux mœurs plutôt élastiques qui a cédé du terrain sans renoncer pour autant à contrattaquer récemment par le biais d’acrobaties parlementaires qui n’ont dupé personne et qui ont déclenché le deuxième grand modérateur de tout abus de pouvoir : la colère populaire exprimée par des manifestations monstres contraignant les petits malins à une honteuse reculade les exposants encore à ce jour à une énorme pression pour qu’ils disparaissent purement et simplement de la scène publique. Ces événements jettent une lumière crue sur la saga Fillon qui n’aurait même pas eu le commencement d’un début dans le contexte roumain. De plus, notre pays, dans toute sa splendeur n’a pas daigné se doter de la purge anti-corruption préconisée par les instances européennes. Cela nous aurait évité de passer aux yeux du monde pour une république bananière aux mains d’intérêts particuliers se considérant au-dessus des lois. Que François Fillon, tête baissée et droit dans ses bottes déclare qu’il ne se réfèrera qu’au suffrage universel ne fait rien à l’affaire : qu’un candidat à la présidence de la République balaie d’un revers de main toutes les institutions et lois qu’il est censé représenter en cas de succès est proprement stupéfiant. Quelle arrogance ! Quel mépris des électeurs soumis, eux, aux lois et institutions ! |
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