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Source : CNIL

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AlternativeS DémocratiqueS discute de nombreux sujets et les débats sont souvent longs avant qu’une position soit déterminée.

Voici notre position sur plusieurs questions. Chacune nécessiterait d’être argumentée et développée. Nous n’avons pas pour l’instant les forces suffisantes pour le faire (ceci est aussi un appel à ceux et celles qui voudraient réfléchir avec nous). Mais il est nécessaire que nos positions soient publiques.

 

Euro

AlternativeS DémocratiqueS se prononce pour le retrait de la France de la zone euro. Le franc sera rétabli, avec la parité de 1 franc pour 1 euro. La Banque de France retrouvera son rôle de banque centrale et l’État pourra emprunter directement auprès d’elle, et par conséquent ne sera plus obligé d'emprunter à des organismes financiers privés comme c'est le cas actuellement.

Europe

La France quittera l’Union Européenne et retrouvera sa souveraineté nationale. La législation nouvelle sera conçue de telle façon qu’une nouvelle Europe puisse être construite avec des nations ayant en priorité l’intérêt des populations : droit à une information libre, droits sociaux élevés, démocratie réelle.

Dette souveraine

La France prendra l’initiative de faire défaut sur sa dette souveraine, plutôt que de le faire dans le chaos d’une crise subie (avec un endettement qui dépasse 30 000 euros par habitants, personne ne croit sérieusement que cette dette sera jamais remboursée).

  • Gérard

    Je souscris à ces sages propositions.
    Souci, le seul FN semble être sur de telles bases, comment s'en différencier ?

  • En réponse à: Gérard

    Simplement en ne les sortant pas du corpus de nos autres propositions en différents domaines qui montrent clairement que nous n'avons rien à voir avec le Front National.
    Les propositions dont nous parlons ne s'inscrivent pas dans un repli national mais dans le refus de la dictature du libéralisme. Et nous sommes très très peu nombreux à le faire à écouter les dires de nos politiciens !

  • J’ajouterais ceci à la réponse de Daniel : nous ne cherchons pas particulièrement à nous différencier du Front National, ni d’aucun autre parti d’ailleurs, parce que nous ne définissons pas nos positions en fonction de celles des autres. Nous agissons en dehors de la politique politicienne.

    Nos choix sont déterminés en fonction de deux critères :

    Le premier, ce sont les intérêts de la grande majorité de la population : ouvriers, employés, techniciens, ingénieurs, paysans, enseignants, chômeurs, etc. C’est-à-dire de toutes les victimes de la domination actuelle du capital financier. Nous pensons qu’il est possible d’imaginer une autre société, qui serait profitable à toutes ces catégories sociales et dans laquelle les intérêts divergents pourraient être négociés dans la clarté et d’une façon pacifique.

    Le second, c’est l’intérêt national. L’internationalisme prolétarien comme la mondialisation ont conduit à des catastrophes. Nous apprenons du passé et nous ne voulons pas répéter ce qui a foiré. Le cadre national est le plus favorable à la défense des intérêts collectifs mais cela ne veut pas dire qu’il soit pour autant hostile à l’extérieur. Il faut faire preuve d’imagination pour penser quelque chose qui soit vraiment nouveau, et de notre part, il ne s’agit pas d’un slogan.

  • Gérard JOLIVET

    Nous sommes dans un modèle de mondialisation bananier (voir les affaires qui se succèdent) où chaque être suffisamment cortiqué ressent bien tous les paradoxes induits par les discours sur le développement et les progrès de l'humanité d'un côté mené par les grands laboratoires de recherche et la grande industrie, autrement dit le grand capital, versus les pertes humaines qu'elles soient économiques, sociales ou guerrières, victimes collatérales d'une machine folle vers toujours plus de profit et moins de solidarité et de compassion. Un fonctionnement schizophrénique qui nous amène vers la plus grande catastrophe humaine et humanitaire de tous les temps. En plus ou moins bien conceptualisé et verbalisé c'est certainement la pensée parasite qui accompagne et renforce l'individualisme puis son éminence grise l'apolitisme.
    La question est, comment fédère-t-on une pensée largement répandue, muni de cette certitude comment crée-t-on un mouvement populaire unifié, comment soulève-t-on des masses résolues à une agonie inévitable marchant vers l'abattoir ? Le tout sans trop de violence de préférence...
    Et accessoirement qui peut déradicaliser (j'adore ce néologisme pour croyants indulgents) un peuple qui croit que sans mondialisation, sans Europe on crève...

  • Vous posez une question dont j’aimerais beaucoup connaitre la réponse.

    Voici seulement ce que je peux en dire.

    Vous avez écrit dans votre premier commentaire, que nos propositions sur l’euro, l’Europe et la dette souveraine étaient sages. Quand nous les avions formulées, il y a seulement deux ans, après de longs débats, elles passaient pour ineptes.

    Depuis, les libéraux ont perdu la guerre des idées. Des idées, ils n’en ont d’ailleurs plus ; ils n’ont plus aucune théorie à défendre et ils nagent en plein désarroi. Ils ont perdu, sauf sur un point : l’individualisme.

    Je ne suis pas un grand champion de la compassion. Quand on gémit, je demande : « Qu’as-tu fait pour qu’il en soit autrement ? » On me répond par les formations suivies, les innovations diverses, etc. Je dis : « Bien. Tu as essayé d’être plus compétitif que les autres. Mais une société n’est pas faite avec de gagnants et de perdants, ça n’est pas les jeux olympiques. Qu’as-tu fait pour que tout le monde puisse s’en sortir ? »

    Je n’ai pas constaté le moindre progrès ces dernières années. Les gens se donnent bonne conscience avec des actions caritatives ou les rêveries illusoires à la mode propagées par les pseudos documentaires comme Demain.

    L’individualisme est l’obstacle fondamental qui s’oppose à tout changement concerté. Il est le substrat de la grande catastrophe humaine et humanitaire dont vous parlez, parce qu’il est par nature antihumain quand il n’est pas équilibré par l’appartenance indéfectible à une collectivité.

    Je n’ai aucune idée de la façon dont on pourrait s’attaquer à l’individualisme. En avez-vous ?

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