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Source : CNIL

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Il y a quelques décennies, les Français avaient un choix politique simple et concret. La droite défendait le système capitaliste, qu’elle rebaptisait de libre-échange, tandis que la gauche se donnait pour but d’établir d’une société socia­liste.

L’effondrement du système soviétique au cours des années 1980 a sonné le glas des utopies socialistes. Sans le reconnaitre, la gauche au pouvoir en France a renoncé à ses principes dès 1983 – en appelant ça “la pause” – puis elle a adopté tout aussi discrètement l’idéologie ultralibérale. Les socialistes ont été les initiateurs en France de la dérégulation financière prônée par Margaret Thatcher et Ronald Reagan.

Il n’y avait dès lors plus de différence fondamentale entre la droite et la gauche. Toutes deux croyaient à l’omniscience des marchés, à leur efficience et à leur autorégulation. C’étaient “les années fric”. Il n’y avait plus que des différences de style. Cela a provoqué une crise morale : le chacun pour soi, la perte des ambitions collectives.

Or, la soi-disant “science économique” qui justifiait l’ultralibéralisme s’est avérée fausse. Les marchés ne sont pas omniscients, ils ne sont pas efficients et il n’y a aucune autorégulation – bien au contraire, on est allé de bulle spéculative en bulle spéculative, jusqu’à ce que la plus énorme, la crise des “subprimes” mette tout le système au bord de l’écroulement.

Depuis 2007, cette crise a muté en ce sens que les États ont pris à leur charge les dettes des banques et se trouvent colossalement endettés.

En bref, le socialisme a conduit à l’échec et le capitalisme financiarisé aussi. On voit mal comment on pourrait s’en sortir ! Soit les entreprises appartiennent à des individus, soit elles appartiennent à l’État. Pourtant, ces deux formules ont un point commun. Dans les deux cas, la direction est sous le contrôle en fait d’un tout petit groupe de personnes, la masse de la population étant tenue à l’écart.

Ce point commun permet d’envisager une piste qui n’a pas été explorée, ou seulement dans les mots : l’implication du plus grand nombre dans la gestion de l’économie, ce qui implique une démocratisation profonde de la société. Que l’entreprise soit publique ou privée devient dès lors moins important.

L’article 2 de notre constitution affirme que le principe en est : « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». Si on consi­dère que voter tous les cinq ans pour donner à une seule personne un pouvoir quasi monarchique, c’est le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, alors oui, la France est un pays démocratique. Si on regarde les choses en face, on mesure le chemin à faire pour réaliser ce « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ».

AlternativeS DémocratiqueS formule des propositions pour une démocratisation de notre société. Ces propositions sont présentées en plusieurs thèmes pour en faciliter la discussion :

 

• L’information

• Proximité et responsabilité

• Renouveler les élites

 

 

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