REMARQUE ! Ce site utilise des cookies et autres technologies similaires.

Si vous ne changez pas les paramètres de votre navigateur, vous êtes d'accord. En savoir plus

J'ai compris

Qu'est-ce qu'un cookie ?

Un cookie est une information déposée sur votre disque dur par le serveur du site que vous visitez.

Il contient plusieurs données :

  • le nom du serveur qui l'a déposée ; 
  • un identifiant sous forme de numéro unique ;
  • éventuellement une date d'expiration…

Ces informations sont parfois stockées sur votre ordinateur dans un simple fichier texte auquel un serveur accède pour lire et enregistrer des informations.

A quoi servent les cookies ?

Les cookies ont différentes fonctions. Ils peuvent permettre à celui qui l'a déposé de reconnaître un internaute, d'une visite à une autre, grâce à un identifiant unique.

Certains cookies peuvent aussi être utilisés pour stocker le contenu d'un panier d'achat, d'autres pour enregistrer les paramètres de langue d'un site, d'autres encore pour faire de la publicité ciblée.

Que dit la loi par rapport aux cookies ?

La réglementation prévoit que les sites internet doivent recueillir votre consentement avant le dépôt de ces cookies, vous indiquer à quoi ils servent et comment vous pouvez vous y opposer. En pratique, un message doit apparaître quand vous vous connectez au site pour la première fois pour vous indiquer comment accepter ou au contraire refuser les cookies.

Comment bloquer les cookies ?

Vous trouverez des conseils pour installer des outils vous permettant de bloquer certains cookies lors de votre navigation. Pour les professionnels, nous proposons des fiches pratiques pour qu'ils puissent respecter leurs obligations légales.

Comment est-il possible de savoir quels sont les cookies déposés lors de ma navigation ?

Les experts de la CNIL ont développé un outil que vous pouvez installer en quelques clics qui s'appelle CookieViz. Il vous permettra de visualiser en temps réel l'ampleur du phénomène des cookies ainsi que le nombre impressionnant d'acteurs qui interviennent pour analyser votre navigation. 

Source : CNIL

Connexion

Connexion à votre compte

Identifiant
Mot de passe
Maintenir la connexion active sur ce site

Au pays de la Révolution, l’aveuglement est généralisé. Les électeurs français ont fait leur choix : d’un côté il y a la radicalisation du système ultra-libéral avec Macron, de l’autre l’aventure nationaliste, réactionnaire et violente avec Le Pen. Dans les deux cas, c’est une destruction de la société française qui nous attend. Qu’il y ait aggravation de la globalisation économique et disparition des derniers droits sociaux, ou délitement de la cohésion sociale et intensification des discrimination tous azimuts, le peuple français va devoir affronter des années bien sombres. Espérons que l’IVG ne soit pas supprimé pour garder le droit de ne pas infliger ceci à des êtres innocents. Abreuvés d’individualisme, nos compatriotes ont manifestement décidé de conserver leurs œillères. A nous la paupérisation, l’accroissement des inégalités et l’abrutissement à grands coups de propagande libérale ; le racisme, la misogynie et le néofascisme du Front national. Le scrutin d’hier a été motivé par l’immobilisme et la lâcheté de 38,34% de nos « cons citoyens », peu enclins à accepter la nouveauté lors même qu’ils désavouent en masse l’organisation du monde, mais terrorisés à l’idée de se défaire du culte de l’homme providentiel et du transfert de responsabilité permis par la représentativité. Attendons de voir si les élections législatives réussissent à contrebalancer les élans de notre futur.e monarque présidentiel.le ; le dégoût et la honte allant peut-être toutefois augmenter le taux d’abstention. Effectivement, la répartition des voix entre les différents candidats ne permet pas vraiment d’espérer une alternative à la peste ou au choléra. Et l’organisation du système électoral n’invite nullement à retourner sa veste quelques semaines après un premier vote. AlternativeS DémocratiqueS ne peut décemment pas se prononcer en faveur de l’un ou l’autre candidat pour le second tour. Il va donc nous falloir poursuivre inlassablement la lutte et la réflexion pour proposer un changement systémique digne de ce nom et pour inciter les citoyens français à reprendre leur destin en mains une bonne fois pour toutes. Allons-y, mais allons-y vraiment ! Il n’y a pas « pas d’alternatives »."

Au cours des années 80, le communisme s’est effondré. Tout le monde a alors cru que le marché libre était le meilleur système possible. Les partis de gauche, communistes compris, ont accepté la “mondialisation”.

 Aujourd’hui, c’est ce système ultralibéral qui fait faillite. Mais les salariés (et les chômeurs, et les auto-entrepreneurs) semblent tétanisés et ne réagissent pas. Parce qu’en acceptant la loi du marché, ils avaient aussi accepté l’hyper individualisme qui considère que chacun doit se débrouiller seul et se vendre. Alors, soit ils suivent les partis qui défendent la finance (UMP et PS, mais aussi les Verts et le Front de Gauche), soit ils se mettent à la remorque du petit patronat industriel et commercial en votant pour le Front National, soit ils renoncent à toute participation politique.

 Les salariés constituent l’immense majorité de la population du pays ; pourtant ils sont politiquement insignifiants. Ils ont accepté leur appauvrissement parce qu’ils ont été fabriqués depuis l’enfance avec les idées ultralibérales en tête.

 Mais aujourd’hui un cap est franchi. Un très grand nombre de jeunes, peut-être la majorité, sont dans l’impossibilité de trouver un emploi stable, de se loger, de fonder une famille s’ils le souhaitaient. Les parents constatent que les années d’études qu’ils ont payées ne servent plus à grand-chose. Et cela oblige les gens à réfléchir, à abandonner l’idée qu’eux-mêmes ou leurs rejetons s’en sortiront parce qu’ils seraient plus malins que les autres.

 Les salariés ont tout intérêt à participer de nouveau à la vie politique, d’une façon indépendante, sans suivre telle ou telle fraction du patronat. Ils y sont même obligés, pour survivre. Ils ont besoin de mettre leurs têtes ensemble.

 La démocratie, la vraie, pas la caricature que nous subissons, serait le moyen politique pour l’immense majorité de la population de faire valoir ses intérêts.

 Cela suppose le droit à l’information. Cela suppose le contrôle des électeurs sur leurs élus. Et de nombreuses autres mesures qui sont présentées sur ce site et auxquelles nous vous invitons à réfléchir avec nous, et que nous vous invitons à propager autour de vous pour construire une société meilleure.

 

    • Portrait de Daniel Méjean
    • Bourriques
    • Je ne me suis pas bien fait comprendre, le terme "assaut génocidaire" s'applique à la tournure prise par la razzia du...
    • Portrait de Daniel Méjean
    • Décider !
    • Au cours de sa vie, chacun d’entre nous, que ce soit dans le monde politique, professionnel, associatif ou même dans...
    • Portrait de Daniel Méjean
    • Le capitalisme financier
    • Au bon vieux temps de l’URSS (OK, j’y vais un peu fort, là !), certains mots squattaient les unes des journaux qui...
    • Portrait de FARJAUD
    • L'esprit JO
    • Bonjour Daniel Pour une fois, je ne vais pas jouer le contradicteur (nécessaire pour qu'un véritable débat ait lieu)....